«IFNOR, c’est une entreprise où l’on place vraiment l’humain au centre»

Écrit le 24/06/2025

Ifnor

Rencontre avec Morgane Jennet, gestionnaire de copropriété chez IFNOR. Après six années d’évolution au sein du cabinet, elle revient sur ce qui fait, selon elle, toute la différence : un environnement bienveillant, des gérants à l’écoute et une entreprise qui place réellement l’humain au cœur de son fonctionnement.

Morgane, vous avez intégré IFNOR en 2019. Quel a été votre parcours au sein du cabinet ?
Morgane Jennet. Je suis arrivée chez IFNOR sans vraiment connaître le monde de la copropriété. J’occupais alors le poste d’hôtesse d’accueil, et je m’occupais aussi de la location saisonnière. Très vite, j’ai eu envie d’évoluer, d’apprendre, de me confronter à de nouveaux défis. J’ai commencé à prendre en charge certains dossiers, à demander plus de responsabilités.

Ce que j’ai beaucoup apprécié, c’est que cette envie a été entendue. Les échanges avec Christophe Perez (cogérant du cabinet IFNOR) ont été très ouverts, très constructifs. J’ai ensuite basculé progressivement vers la copropriété : d’abord sur le suivi des dossiers contentieux et sinistres, puis comme assistante de gestion, avant de devenir officiellement gestionnaire de copropriétés en janvier 2024. Cette évolution a été naturelle, fluide… et surtout rendue possible par la confiance que le cabinet m’a accordée. Quand je suis arrivée, je ne savais même pas ce qu’était un syndic ! Je sortais d’un BTS en management, donc vraiment rien à voir. Aujourd’hui, je suis fière du chemin parcouru. C’est une vraie satisfaction d’avoir pu construire cette trajectoire ici.

Quel est votre rôle aujourd’hui, et à quoi ressemble votre quotidien ?
MJ. Je suis en charge d’un portefeuille de 13 immeubles, ce qui représente environ 2 500 lots. Parmi eux, certains ensembles sont très importants, avec jusqu’à 550 lots dans une
seule copropriété. Cela demande beaucoup de rigueur et d’organisation, mais aussi une grande capacité à gérer des situations très variées. Mon travail, c’est de piloter la vie quotidienne de ces immeubles : le suivi des contrats, les interventions techniques, la gestion des entreprises, l’organisation des assemblées générales… C’est un métier de coordination, de vigilance, mais aussi de relations humaines. Je travaille main dans la main avec les conseils syndicaux, qui sont nos relais auprès des copropriétaires. La réalité, c’est qu’on ne gère pas une petite copropriété comme on gère une résidence de plusieurs centaines de logements. On doit adapter sa méthode, son approche. Mais dans tous les cas, ce qui prime, c’est le lien de confiance.

Vous évoquez souvent la notion de proximité. Pourquoi est-ce si important pour vous ?
MJ. Parce que c’est ce qui fait la différence dans ce métier. On a parfois tendance à réduire le rôle de syndic à de la gestion technique ou comptable, mais c’est bien plus que ça. C’est un métier profondément humain, qui demande de l’écoute, de la réactivité, de l’empathie. Je reviens tout juste de congé maternité, et j’ai été très touchée de voir que plusieurs copropriétaires m’ont dit qu’ils étaient contents de me retrouver. Ce genre de retour, ça donne du sens au quotidien. Ça prouve que le lien est réel, que la confiance est là.

Comment décririez-vous l’ambiance chez IFNOR ?
MJ. C’est une ambiance familiale, chaleureuse, bienveillante. On tisse de vrais liens avec ses collègues – certains sont même devenus des amis. C’est précieux, surtout dans un métier où l’on gère souvent des situations complexes, parfois tendues. Ce que j’apprécie énormément, c’est le soutien permanent. Si je traverse une période difficile, je sais que je peux envoyer un message à Christophe, et qu’il va tout faire pour répondre présent, quel que soit son agenda, pour m’écouter et m’aider. Ce n’est pas que du discours : c’est du vécu. Chez IFNOR, on fête les anniversaires, on partage des repas, on prend le temps de se retrouver. Même dix minutes autour d’un café ou d’un goûter, ça crée du lien. Et c’est ça, l’esprit IFNOR.

Qu’est-ce qui distingue, selon vous, IFNOR des autres structures du secteur ?
MJ. En six ans, je n’ai jamais entendu un mot déplacé d’un gérant envers un collaborateur. Les erreurs ne sont pas sanctionnées : elles sont comprises, analysées, et on avance ensemble pour éviter qu’elles se reproduisent. La bienveillance ici, ce n’est pas une façade. L’entreprise prend soin de ses équipes : dans sa gestion du quotidien, dans l’organisation des temps collectifs, dans les perspectives d’évolution qu’elle offre. Et si je devais donner un conseil à quelqu’un qui envisage de postuler chez IFNOR, ce serait simple : fonce. C’est une structure où tu peux vraiment évoluer, apprendre, être accompagné. Et surtout, tu ne seras jamais seul

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