Portrait de Brice BELLENGER

Portrait de Brice BELLENGER

Écrit le 01/12/2023

Ifnor

Cette semaine, le cabinet IFNOR a souhaité mettre en avant une de ses jeunes recrues très prometteuses, Brice BELLENGER. De ses débuts d’alternant à son nouveau rôle de gestionnaire de copropriété junior, retrouvez son parcours chez IFNOR.

Dans un premier temps, Brice BELLENGER pouvez-vous nous présenter votre parcours ? 

Au cours d’un parcours en sport-études en rugby sur Paris, je me suis blessé trois fois, mettant fin à toute carrière dans ce milieu. Arrêtant donc le rugby à la fin de ma terminale, je me suis intéressé à l’immobilier ayant un oncle promoteur immobilier, mais aussi puisque mes parents ont fait une acquisition dont j’ai pu connaître les tenants et les aboutissants. Suite à cela, j’ai postulé à l’AFTEC à Caen (établissement d’enseignement supérieur spécialisé). J’ai continué mon cursus scolaire au sein du cabinet IFNOR. Et cela fait un an et demi que je suis au cabinet. 

Au début chez IFNOR, j’effectuais des tâches en location et en copropriété. Ensuite, je me suis plutôt orienté vers le syndic. À ce moment-là, on m’a nommé en tant qu’assistant de gestion de Madame Perez. Avec le prochain départ en retraite de Madame Perez, je reprends sa place en tant que gestionnaire de copropriété junior.

Est-ce que, quand vous avez commencé à vous intéresser à l’alternance et aux métiers notamment de l’immobilier, quelque chose en particulier vous a attiré chez IFNOR ?

Je cherchais une alternance plutôt en transaction. J’ai pu réaliser un stage en transaction pendant un mois et demi dans une autre entreprise mais sans débouché possible en alternance. Après quelques recherches, j’ai décroché un entretien avec Christophe PEREZ. Au début, je ne connaissais pas particulièrement le domaine de la copropriété et je ne me suis pas forcément intéressé non plus à ce domaine car je me voyais plutôt sur la partie transaction, plus en adéquation avec le côté challenge du rugby. Mais au fur et à mesure chez IFNOR, j’ai appris à apprécier le syndic. Même si parfois on gère des problèmes de la vie du quotidien des propriétaires. Par exemple, aujourd’hui, j’ai eu un copropriétaire qui m’a appelé pour le paillasson du premier étage qui était en mauvais état.

Pouvez-vous nous expliquer le rôle d’un gestionnaire de copropriété au sein d’IFNOR?

Le rôle du gestionnaire de copropriété junior, c’est un gestionnaire qui débute dans le syndic et qui a soif d’apprendre pour acquérir toutes les connaissances. Le gestionnaire qui a un portefeuille junior va plutôt s’aider des autres et des connaissances acquises lors de son cursus scolaire pour avancer. En l’occurrence, depuis maintenant un an, Madame PEREZ m’a bien aidé sur la partie copropriété. 

Le gestionnaire doit tout gérer. Aux côtés de Mme Perez, je me suis aperçu que, pour bien exercer mon métier, il faut avoir de grandes connaissances en comptabilité, sur la partie finance, sur les aides de l’État, sur l’aspect nature/environnement, en communication avec les copropriétaires, en relationnel avec le conseil syndical, en supervision pour la gestion des travaux, en tenue des Assemblées Générales. Le gestionnaire de copropriété a un véritable rôle de chef d’orchestre.

Est-ce que vous avez un conseil avisé pour assurer une gestion de copropriété efficace ? 

Je vais donner un conseil que j’applique à moi-même, c’est de foncer tout en restant attentif à ce que les copropriétaires peuvent nous dire. Les copropriétaires sont une véritable source d’informations pour nous aider à faire notre travail. 

 Est-ce que vous pouvez me donner votre top 3 des compétences clés pour exercer votre métier ?

En premier lieu, je dirais la patience. Initialement je suis quelqu’un qui n’aime pas du tout les problèmes. Malheureusement, en copropriété, on n’a pas le choix. Et dans ce cas-là, il convient de faire preuve de patience auprès de nos copropriétaires qui ont besoin de nous. 

En deuxième lieu, je dirais l’humain. Lorsque l’on gère une copropriété ce sont des chiffres, des lignes comptables mais cela reste avant tout des personnes comme vous et moi. L’humain au travers de nos rdv, chantiers, mails, appels, etc.

Troisièmement, je dirais motivation. Parce qu‘il faut être motivé pour apprendre le métier de syndic qui, lui, est beaucoup plus complexe que la transaction. Il faudra être motivé pour apprendre de nouvelles choses, faire de la veille, connaître les assurances, etc.

Pouvez-vous nous parler des valeurs ou de la philosophie d’entreprise d’IFNOR et comment vous les traduisez dans la façon dont vous travaillez avec les clients de manière générale ? 

Je vais parler de celles que je ressens. Il y a eu une entente énorme et une réelle entraide. Il y a tellement de choses qui sont mises en place pour notre bien-être et notre bonne entente. Par exemple, quand il y a un anniversaire, un pot d’anniversaire est organisé. Ou encore, quand j’ai obtenu mon permis de conduire, j’ai souhaité le célébrer avec mes collègues. Les liens entre nous sont très forts et solides car nous pouvons compter les uns sur les autres. On crée des liens et des affinités avec les personnes avec lesquelles on travaille. Et c’est pour ça que j’adore le fonctionnement et l’entente qu’il y a au sein du cabinet. Ce sont quatre cabinets dans quatre villes différentes, mais malgré tout, quatre cabinets unis en une seule famille.

Pour l’anecdote, je suis un peu la mascotte, vu que je suis le seul garçon (après Christophe PEREZ) sur la Normandie. 

Quels ont été ou quels seront les défis les plus importants dans votre carrière chez IFNOR ? 

Ce que je souhaite au sein du cabinet IFNOR c’est de continuer ce que je fais. Mon nouveau rôle de gestionnaire junior est en soi un réel nouveau défi. Mais justement, c’est aussi un défi que je relève tout en restant comme je suis depuis le début. C’est-à-dire toujours sympathique, souriant, bienveillant et sans cesse à la recherche de solutions. 

J’ai également à cœur de toujours fournir le travail pour lequel on me félicite actuellement. Certains copropriétaires sont très reconnaissants pour mon implication et mon travail. 

Et est-ce que du fait de votre jeune âge, vous arrivez malgré tout à avoir une certaine légitimité ? 

Au début, je pensais qu’un choc générationnel pourrait avoir lieu, mais pour le moment, mes échanges se sont toujours bien passés puisque les copropriétaires sont respectueux (respect que je leur donne également en retour). Et le choc générationnel ne m’a jamais dérangé, les personnes plus âgées peuvent nous apprendre de nombreuses choses, que ce soit sur la résidence ou même sur des parcours de vie qu’elles ont pu avoir. 

Est-ce que vous pouvez nous partager un cas client en particulier qui a été mémorable pour vous ?

Une anecdote sur moi : j’ai un sweat fétiche d’une célèbre marque de prêt-à-porter avec un nounours dessus. Je le mets assez régulièrement. Et quand je le porte, il suscite parfois des remarques de la part des copropriétaires comme : “il vous ressemble”, “il est mignon”, “est-ce qu’on peut le caresser ?”. Et c’est comme cela que j’ai des copropriétaires qui m’ont déjà caressé le torse. 

Et l’anecdote côté travail. On travaille avec un architecte sur une résidence qui a un problème structurel. Au dernier étage, au milieu de la pièce, une bonne partie du parquet a été démontée. Au début du rendez-vous, l’architecte me prévient de faire attention à cette partie du plancher.

Mais à la fin du rendez-vous, lui-même se prend les pieds dedans en faisant une roulade avant. Le connaissant depuis peu, sa cascade me fait rire (en essayant de me modérer par respect). Et en repartant, c’est moi qui tombe par terre, l’entraînant dans ma chute dans un fou rire général. Je suis revenu avec plein de poussière et des toiles d’araignées au cabinet sur mon sweat fétiche. 

Qu’est-ce que vous envisagez pour l’avenir de la gestion de la copropriété dans 10 ans ? 

Dans 10 ans, je pense que le domaine de la transaction immobilière va se calmer,à l’heure actuelle, on enregistre de grosses fluctuations. Et en ce qui concerne directement le syndic, je pense que la gestion va rester de manière générale la même, car c’est une gestion qui fonctionne bien depuis 1965. D’ici dix ans, ce que je souhaiterais, c’est voir des évolutions en matière d’écologie. Actuellement, on est sur des bâtiments qui n’ont jamais forcément respecté l’écologie, qui ont des matériaux pas toujours renouvelables ou autres. Personnellement, je m’entoure plutôt d’architectes qui, quand ils font une isolation par l’intérieur, prennent plutôt de la ouate de cellulose plutôt que de laine de roche. Cela coûte plus cher mais c’est beaucoup plus respectueux de l’environnement. 

Ce que je souhaite également c’est qu’il y ait plus de personnes qui s’engagent en tant que gestionnaire de copropriété ou en tant qu’assistant, puisque c’est un beau métier. 

Et dans 10 ans, ce que j’aimerais, c’est que toutes les résidences de la Côte Fleurie, même si c’est utopique, soient bien isolées et qu’il n’y ait plus de problèmes structurels, environnementaux, etc. 

Quelles sont vos aspirations et vos objectifs personnels dans votre rôle au sein de l’entreprise ou même en dehors ? 

Côté entreprise : ce que j’aimerais, c’est rester comme je suis et continuer de gérer mes résidences. Mais aussi rester longtemps au sein du cabinet IFNOR parce qu’il y a des belles perspectives d’évolution. Je sais qu’à terme, le cabinet grossit de plus en plus. Donc à mon échelle, ça me fait de plus en plus de copropriétés à gérer. 

Côté personnel : Ce que je souhaite faire, c’est trouver un pied-à-terre près de Villers-sur-Mer car j’habite actuellement à Caen. J’ai envie de prendre mon indépendance, d’avoir mon appartement, mon petit chez-moi. 

Pour conclure, pouvez-vous définir IFNOR en un mot? 

En un mot, humain

 

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